Le diabète de type 1 ne se limite pas au contrôle de la glycémie : il s’accompagne d’une charge mentale importante, souvent méconnue.
Nous avons le plaisir de vous partager notre dernière publication, qui met en lumière les profils cliniques et psychosociaux des patients vivant avec un DT1 et présentant une détresse liée au diabète.
Dulce Canha, notre brillante doctorante au LIH, a joué un rôle majeur dans cette étude portant sur 1220 participants à la cohorte. Son travail approfondi contribue à mieux comprendre ce fardeau psychologique et à ouvrir la voie à des stratégies d’accompagnement adaptées.
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Quelques résultats marquants :
48,5 % des patients de la cohorte SFDT1 présentent une détresse liée au diabète (score PAID ≥40), soulignant un enjeu majeur souvent négligé.
Les dimensions dominantes de cette détresse sont la peur des complications et le burnout du diabète.
Facteurs de risque : être une femme, un âge plus jeune, la vulnérabilité socio-économique, le tabagisme actif et la rétinopathie diabétique.
Technologies avancées & détresse : malgré l’usage croissant des boucles fermées, la charge psychosociale reste élevée.
Implications cliniques : nécessité d’une approche globale et multidimensionnelle intégrant des interventions psychologiques et éducatives ciblées.
Cette étude souligne l’importance de mieux prendre en charge ces enjeux pour améliorer la qualité de vie des patients.
Un immense merci à toutes les personnes ayant contribué à cette étude :
• Les participants de la cohorte SFDT1, qui nous permettent d’avancer dans la compréhension du DT1 et de ses impacts.
• Les médecins et soignants, dont l’engagement auprès des patients est essentiel pour une prise en charge globale.
• Tous nos partenaires et sponsors qui rendent cette recherche possible et assurent la pérennité de cette ressource unique.
• Les équipes de recherche du LIH, dont le travail rigoureux est au cœur de cette avancée scientifique.
